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Chanson de geste (La chute de la forteresse de Gal)


 
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Spartakus Vorshekker
Burne de Combat



Inscrit le: 19 Mar 2006
Messages: 342

MessagePosté le: Jeu Jan 10, 2008 15:33 PM    Sujet du message: Chanson de geste (La chute de la forteresse de Gal) Répondre en citant

Oyez oyez nobles coeurs de Medievalis
Comment du destin manqua de faner le lis
Comment deux mille hommes soutinrent le fer de vingt mille
Comment les gaulois perdirent puis gagnerent leur ville
Comment Spartakus, le sans nom, le honni
Devint Vorshekker, gaulois et de Bretonnie.

L'obscurité etend ses griffes de chacal
Dans les gouffres autour de la forteresse de Gal
Les gaulois ont payes le tribut a leurs dieux
Sur les remparts de Gal gisent les meilleurs d'entre eux
Des etendarts rougeatres claquent dans la nuit
Portant le symbole du clergé de la Deosie.

Rare sont ceux qui encore sur cette terre ont l'ame
De pouvoir forger leur legende par les lames

La légion etrangere, en cette funeste nuit
A fait luire dans le ciel le feu de l'heresie
Le canon a parlé, la poudre a aboyé
Et les plus fiers guerriers des gaulois sont tombés.
Mais qu'importe les morts, les bardes les chanteront
Le piege a fonctionné, il n'y a plus de pont.
Le pont qui relie l'armée a ses arrieres
A ete demoli par un groupe de guerre
Bors et Eric, meme Caina ete embusquée
Les brigades blanches dont pas un seul n'a manqué
A leur tete Spartakus, le guerrier metallique
Tomba le pont a mains nues, arc bouté dans le vide
Plus tard dans cette nuit un guerrier Nemvesien
Jura que des loups se rassemblait au lointain
D'autres encore dirent avoir entendu le tonnerre
C'étaient les lames des gaulois crissant sur la pierre.

Rare sont ceux qui encore sur cette terre ont l'ame
De pouvoir forger leur legende par les lames

Et des profondeurs, la Mort regarde Spartakus
Sachant qu'elle n'attendra pas une nuit de plus
son fiancé, promis depuis l'aube des temps
Le regard vide de la mort sourit lentement.

Cachés dans la foret, Spartakus et ses hommes
Savent dorevanant que la mort est un somme
Car meme si cette cité devient leur tombeau
Ils vivront pour toujours en legende, en heros.
Car quelle plus belle legende pour le pantheon celte
Qu'une victoire la ou tous ne voyent qu'une défaite !

Bientot il sera l'heure de partir guerroyer
L'armée du clergé, forte de 20 000 guerriers
Dont plus de la moitié on prit possession
De la ville fortifié l'ocupe en garnison.
Asterix, chef celte, héros parmi les siens
Sans doute pour exaucer des dieux les noires desseins
Suivra les ordres de Spartakus qui a Brojom
Combatta jadis et fut reconnu pour homme
Par les celtes du nord, irreductibles encore
Sa legende raconte qu'il echappe a la mort...
Mais cette nuit pour infiltrer les murs de Gal
Les celtes sentent la Mort sourire a leur general
Alors comme un seul homme ils levent le nez au vent
Et sourient a la Mort en lui montrant les dents !

Et des profondeurs la Mort regarde les gaulois
Et serre sa tunique pour se proteger du froid
Rare sont ceux qui encore sur cette terre ont l'ame
De pouvoir forger leur legende par les lames.

Asterix connaissant la cité assiegé
Montre a Spartakus les souterrains dérobés.
C'est par la que s'engageront les valeureux
Si l'attaque échoue, combien survivront ? Tres peu.
Spartakus a leur tete, quelques gaulois avancent
Une trentaine tout au plus progressent en silence.
Le plan est simple, pour pouvoir progresser plus avant
Les renforts celtes doivent arriver régulierement.
Dans les salles qui sillonent les sous sols de la ville,
Cela signifie lutter a 100 contre 1000
Mais cela n'est pas le plus dangereux a faire
Encore faut il trouver une salle qui fasse l'affaire.
Une sufisament spacieuse pour que les guerriers
Celtes puissent arriver et puis s'organiser
Encore une fois c'est le general Spartakus
Qui part en eclaireur. Les hommes cachent un rictus.
Des hommes qui pensaient pret a le suivre en enfer
Ils ignorent encore que certains devront le faire.

Rare sont ceux qui encore sur cette terre ont l'ame
De pouvoir forger leur legende par les lames

Dans la pièce comme une menace qui dort
Il sent l'odeur de l'huile repandu sur les corps.
En s'avancant un peu sans faire le moindre son
Il voit luire un instant la gueule noire des canons !
C'est un piece, la légion attend leur arrivée
Tout d'abord les cadavres de ceux qui sont tombés
Dont l'odeur putreifiée doit cacher celle de l'huile
Pour une fois que les gaulois, que c'est vil,
pris position dedans enflammer celle ci !
Et puis les boulets pour les reduirent en charpie...
Pas d'honneur dans cette fin digne d'un Nemvesien
Spartakus en revenant sait qu'ici est sa fin...

Et des profondeurs, la Mort regarde cette humain
Elle sourit et sur sa faux resserre sa main.

Rare sont ceux qui encore sur cette terre ont l'ame
De pouvoir forger leur legende par les lames

Sa décision est prise, il connait son devoir
Il sourit a la Mort, il va bientot la voir
Il va traverser courant le cham de cadavres
Et fera taire les canons, lui seul comme un brave.
Ce qu'il s'apprete a faire dans cette salle ce soir
Il ne l'exige de personne pas meme du regard
Mais les gaulois ne peuvent plus reculer cette fois
Car c'est le general en personne qui y va.
Une poignée d'entre eux avance d'un pas, leve la main
Dieux ! Que les legendes auront de heros demain !

Les legionnaires ne mettent pas longtemps a comprendre.
Ils armentles canons et reduisent tout en cendres
Les gaulois utilisant toutes leurs facultés
Ce sont mis a courir, a grimper, a sauter
Seul humain, Spartakus coure au sol, droit au but
Et une main squelettique semble devier les obus.
La mitraille ne parait pas avoir prise sur lui
Il avance en chantant et fixant l'ennemi

Les cadavres soufflés par les déflagrations
S'envolent parfois jusqu'a toucher le plafond.
Et lui, dédaigneusement continue a courir
Jusqu'aux soldats qui savent soudain qu'ils vont mourrir.
Cela leur parait pourtant tellement impossible
Six canons bout portant ne peuvent rater leur cible !
Et soudain un regard se détache du décor.
C'est le noir fiancé au yeux froid de la Mort
Puis oubliant les ordres car ils sont apeurés
Ils utilisent le piege prévu pour une armée.
Qu'importe les conséquences, ils leur faut que en somme
Meure bel et bien cet homme, si tant est qu'il soit homme !

Rare sont ceux qui encore sur cette terre ont l'ame
De pouvoir forger leur legende par les lames

L'un d'eux enflamme la pointe d'une fléche d'amadou
Et d'un calme qu'il ne ressent pas se met en joue.
La fléche s'envole, étoile dans le ciel soutterain
L'odeur net de l'huile s'impose a tous soudain.
Lorsque l'étoile filante tombera sur le tertre
Les portes de l'enfer seront alors grandes ouvertes.
Les corpss'embrasseront, fauchés en plein mouvement
Bientot tous ne seront plus que cendres dans le vent.
L'incendie s'étendra, brlant pendant des heures
Empechant les gaulois d'entrer a l'interieur.
Cette étoile fialnte dans un ciel soutterain
Exaucera donc le souhait de tous les Déosiens ?
Les dernieres lueurs de l'incendie s'éteignant
Symboliseront les gaulois et leur dernier chant
Qui s'eteindra dans les couloirs froid d'Alesia
Et apres cela plus personne ne l'entendra.

Et des profondeurs la Mort regarde le guerrier
Ferme les yeux, s'avance et lui donne un baiser.

(Et Spartakus soudain voit tou danscette orbite
Et se dit "heureusement qu'il me reste... mon critique !")

Ert Spartakus, soudain dans cette fléche enflammée
Reconnait son destin se materialisé.
Continuant d'avancer, d'un geste de la main
Il attrape la fleche et l'eteint dans son poing.
Il sourit a l'archer, statufié de terreur
Et serrant sa nuque fait sonner sa derniere heure.
Dans son poing écrasé gresille encore un peu
La pointe de la fleche dont s'eteint le feu.

Spartakus, fiancé de la Mort qui transforme
La défaite qu'on lui tend en victoire pour les hommes !
Spartakus le guerrier qui pourvoira en ames
La Mort qui est toujours avide de cette manne.
Spartakus Vorshekker, General des gaulois
Qui les emmenent suivre les legendes d'autrefois.
Le reste de l'histoire s'écrira dans le sang
Les legionnaires tombent par 10, 50, 100 !
Rien ne semble plus etre en mesure d'aretter
L'avancée de Spartakus et de son armée.
Qu'importe si sa legende doit s'écrire dans la chair.
En lettres cicatriciels, en mots de tonnerre.
Les ordres sont aboyés, les soldats balayés
Les dieux retiennent leur souffle, certains detournent les yeux.
Et malgré les blessures, Spartakus est sur eux.
Enfoncant les lignes, faisant pleuvoir sa colère
Transformant les soldats gaulois en chiens de guerre
Eux donc, ce peuple si fiere et si reservé
Et là conduis a la guerre par un étranger

Rare sont ceux qui encore sur cette terre ont l'ame
De pouvoir forger leur legende par les lames

Mais la bravoure est a la hauteur de l'honneur
Et Spartakus ne demerite pas. La peur
Se lit maintenant dans les yeux des legionnaires
Mais le pont est coupé, ils n'ont plus leur arrieres
Et le rale d'agonie des derniers combattants
Se perde dans la plaine ou la légion a son camp.
La forteresse de Gal est aux mains des gaulois
Seulement une nuit l'ennemi la commanda
La victoire acquise sur l'armée du Cardinal
Dans toutes les legendes n'eu jamais son égale
10 000 hommes sont tombés pour a peine une centaine
Les gaulois salivent regardant ceux dans la plaine.
Le combat continue, ou qu'il le faudra
Les gaulois ne veulent pas laisser libres les soldats
Rentrés chez eux en disant qu'ils s'en sont tirés.
Et ceux qui pourront survivre s'estimeront exaucés.
Quand aux autres, ils alimenteront les legendes
Qu'oncques ne vit les gaulois et repart sur ses jambes.

Rare sont ceux qui encore sur cette terre ont l'ame
De pouvoir forger leur legende par les lames

La legende que laisseront ci-bas les vivants
S’écrira toujours avec le sang des mourants.

Ce qui s’ensuivra ce jour, seule une poignée
De vrais miraculés pourra le raconter
Cette légende, dans les tavernes quand la nuit tombe
Fait frissonner les hommes comme s’ils ouvraient une tombe.
Les héros morts des gaulois, veillant sur leurs clans
Surgirent a leur tour, reclamant leur part de sang.
C’en fut plus que quiconque n’aurait pu supporter.
Les hommes de la légion, hier si entrainés
S’égaillaient a present a travers la foret
De cette armée ne resta au soir qu’une poignée.

Spartakus l’étranger commanda aux gaulois
Et tous purent voir qu’il fut l’auteur de cette exploit.

Rare sont ceux qui encore sur cette terre ont l'ame
De pouvoir forger leur legende par les lames.
_________________


La seule chose qui arrive à la cheville de Chuck Norris, c'est son sexe.
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Leroy samuel douglas
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Messages: 1491
Localisation: Le fameux Acid building

MessagePosté le: Jeu Jan 10, 2008 16:42 PM    Sujet du message: Répondre en citant

terrible ! PDT_Armataz_01_37

LSD
_________________
Pour que la vérité éclate.

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okart
Burne de Combat



Inscrit le: 07 Juin 2006
Messages: 336
Localisation: médiévalis

MessagePosté le: Ven Jan 11, 2008 0:42 AM    Sujet du message: Répondre en citant

une chaçon qu'un stonforgien de ma connaissance aurait bien aimé chanter.
_________________
pour spart et la victoire !!
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Spartakus Vorshekker
Burne de Combat



Inscrit le: 19 Mar 2006
Messages: 342

MessagePosté le: Ven Jan 11, 2008 0:53 AM    Sujet du message: Répondre en citant

J'avais simplement commis l'impardonnable erreur de l'oublier a ce moment la PDT_Armataz_01_05

On ne se refait pas...
_________________


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